Un vilain pas beau, qu'en réalité j'ai fait avait Lippoutou. C'est bien l'étape de l'impression que je trouve la plus délicate dans la linogravure, bien plus que la gravure elle-même. On arrive jamais à savoir réellement s'il y a suffisamment, trop ou pas assez d'encre sur la plaque, sans compter que la feuille de papier ne doit pas bouger, que d'éviter de faire des tâches supplémentaires c'est toujours mieux, et que le cadrage c'est toujours plus ou moins approximatif. Mais c'est aussi un peu pour ça que c'est sympa cette technique.
Ci-dessous un essai encore antérieur sur une chute de bois, bref de la gravure sur bois, autrement appelée xylogravure quand on souhaite se la raconter. Si des amateurs passent par ici, je serais interessé de savoir quel type de bois convient le mieux à la gravure. Le pin montre rapidement ses limites, ça j'ai bien compris.